Cette canne de photographe est de belle facture. Elle possède trois séries de deux brins télescopiques fabriqués en vieux noyer et maintenus par des pièces en laiton. Une fois repliés, ces brins se réunissent entre eux pour former un ensemble homogène constituant le fût de la canne. Une extrémité peut alors recevoir le pommeau qui se visse sur le pas émergeant du socle où se fixe l’appareil photo. L’autre extrémité, quant à elle, reçoit la férule qui se fixe sur les embouts des trois brins.
Canne de photographe
Ca. 1900
France
500 euros